Pour faire un don, cliquer ici puis sur le projet de l’Église de Saint-Péray.
Les bâtiments ne sont pas l’Église mais ils sont dans nos villes et nos villages les témoins de la présence passée ou présente d’une communauté protestante. La construction de ces temples et presbytères a mobilisé des fidèles à toutes les époques :
- dans les années 1850, les Saint-Pérollais soucieux d’offrir un temple au pasteur nouvellement nommé avaient récolté 3084 francs de l’époque
- dans les années 1970, ce sont les paroissiens de Granges-lès-Valence qui se mobilisèrent pour l’édification d’un centre protestant dans la commune en plein développement.
Le contexte est aujourd’hui bien différent : il ne s’agit plus de bâtir des nouveaux temples, d’accueillir de nouveaux postes de pasteurs mais d’assurer la continuité entre les communautés passées et celles du futur.
Les bâtisseurs du milieu du XIXe siècle ont été les premiers relayeurs de cette course.
Dans le virage difficile des années 1970, le passage du relais a été brillamment assuré par une génération qui s’efface petit à petit.
C’est un nouveau virage qui se présente à nous : transmettre le relais, sans faire tomber le bâton, assurer la continuité du message.
Pour cela, nous avons besoin de nos pasteurs, nous avons besoin aussi de presbytères pour les accueillir et de temples pour se réunir et écouter leurs prédications.
Nos bâtiments ont besoin d’être entretenus, mis aux normes, adaptés au XXIe siècle. La rénovation du temple de Guilherand-Granges en 2013 a été une première étape importante, et ce lieu est devenu accueillant et très utilisé au service de la paroisse mais aussi de la région.
Plusieurs chantiers sont en cours ou en projet : la réparation des huisseries dans le vieux presbytère de Saint-Péray, des travaux de réfection de la clôture et d’étanchéité pour le presbytère de Guilherand-Granges, des travaux pour la réparation des portes du temple de Soyons : le montant total de ces travaux est proche de 16000 €.
Nous avons quelques réserves issues du legs de 2017, et le conseil presbytéral entreprend des demandes de subvention auprès du Consistoire, auprès de la région Centre-Alpes-Rhône, tout comme le conseil des anciens au milieu du XIXe siècle avait demandé des subventions à la commune et à l’empereur Napoléon III pour l’édification du temple de Saint-Péray, mais c’est la mobilisation des paroissiens qui reste la clé.
La souscription auprès des fidèles avait recueilli 3084 francs en 1856, cela représente environ 10000 € aujourdh’ui : aidez-nous à rester dans la course, et à mettre les prochains relayeurs dans les meilleures conditions.
Pour faire un don, cliquer ici puis sur le projet de l’Église de Saint-Péray.
Merci pour votre soutien !
Le conseil presbytéral